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VIVRE c'est la CURIOSITÉ, Vivre c'est, la Passion,allons-y, pour l' Art, les Véhicules, les Sciences, la Nature, donc l'

VIVRE c'est la CURIOSITÉ, Vivre c'est, la Passion,allons-y, pour l' Art, les Véhicules, les Sciences, la Nature, donc l'Homme.

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Le Pénomène BASQUIAT : 3 un démarrage

En 1987 une grande (188X238,8 cm) revanche  sur l'auto, après un choc Les Automobiles sont  là, avec  le copyright et le K, King (roi) noir Graffiti pour le film "Downtown 81" d'Edo Bertaglio en1980-81 JM.Basquiat et Andy Warhol devant Felix the Cat 1987 galerie Sbafrazy C'est sur tous les murs de Soho dès avril 1979

En 1987 une grande (188X238,8 cm) revanche  sur l'auto, après un choc
En 1987 une grande (188X238,8 cm) revanche sur l'auto, après un choc 

Le phénomène BASQUIAT:    3 un démarrage

                                      par un Blanc au Noir destin, J-P.Petit

Dès qu'en avril 1979 il décide d'enfin tout miser sur sa peinture hors les murs, il rempli les murs de Soho une dernière fois de la signature de la mort de SAMO © (is dead), et tout change vite pour lui, c'est le démarrage d'une carrière fulgurante.

Pour chaque toile, on a toujours  devant soi comme une projection en 2 dimensions, non pas d'une tranche, mais de l'état de remue ménage multidimensionnel  échevelé qui doit dominer le cerveau de Basquiat en pleine concentration créatrice. Le tout dans l’élégante attitude qui transparait aussi de façon impressionnante dans toutes les situations de la vie où il se trouve, que ce soit entrain de déposer ses textes philosophiques sur les murs  de Manhattan, dont ceux de Soho, dans une galerie ou aux côté de célébrités comme Andy Warhol, ou avec son amie, Madona avant qu'elle devienne célèbre.

C'est un poète dans toute son œuvre. On constate son  intelligence pour intégrer harmonieusement toutes les écoles sans s'y soumettre, pour dialoguer avec ses peinture précédentes sans se copier, mais aussi pour s'occuper très soigneusement de ses ventes et de son aura. Il ira jusqu'à détruire des tableaux qu'il juge impropre à la vente pour éviter qu'ils soient vendus « sous le pinceau », comme ça lui est arrivé.
Quand on regarde la brève trajectoire de sa vie dans le temps, on constate qu'il est un véritable martyr de l'art contemporain, disparu à 28 ans, enlevé par son désespoir noyé dans la drogue. Il y a eu convergence de sa rage de percer, de réussir en tant que Noir, avec l'acharnement de l'assemblée des marchands  et des galiéristes, arbitres mondiaux du sort des artistes, avec les amateurs fortunés.
                                                                                              A SUIVRE

 

Le Phénomène BASQUIAT : 4 un IRM pictural

C'est une oeuvre unique  (207X175 ,5cm)dans l'histoire de la peinture Tête d'écorché absente de "Gray's Anatomy", elle étonne aussi.

C'est une oeuvre unique  (207X175 ,5cm)dans l'histoire de la peinture
C'est une oeuvre unique (207X175 ,5cm)dans l'histoire de la peinture 

Le phénomène BASQUIAT:     4  un IRM pictural

                                      par un Blanc au Noir destin, J-P.Petit

 

Une seule œuvre suffit pour illustrer tous ces aspects, celle qui l'a rendue célèbre d'emblée : « sans titre » 1981 baptisée « skull » par son premier acquéreur (« crâne »).
Mais regardez, ce n'est pas un "crâne" c'est une tête bien vivante et active.
Coloriste génial, dessinateur habile qui dissimule ici ses dons avec un aspect volontairement gauche, il exacerbe ainsi le choc ressenti devant cette tête explorée, dont la puissance et l'énergie dégagée font peur. Il a lui même ressenti l'effroi qu'elle suscite et a attendu presque 1 an avant de la montrer à New-York en 1982, lors de sa 1ère exposition personnelle.

On voit cette tête géante qui envahit tout l'espace d'une très grande toile (2,07 X 1,756 m).
Basquiat connaissait-il Honoré Fragonard, le célèbre chirurgien auteur des écorchés exposés à l'Ecole nationale Vétérinaire d'Alfort, dans son Musée Fragonard ? La tête de l'écorché est bien vivante, mais à l'évidence pas fonctionnelle comme celle de Basquiat.

                                                         A SUIVRE

 

Le phénomène BASQUIAT : 5 "The Radiant Child"

Autoportrait limpide, d'un Poète noir hirsute né en 1960, daté de 1983 Il pose devant ses toiles, et une tête hirsute de la série "Prophets" Le multidimensionnel en 2 dimensions grâce au génie de Basquiat

Autoportrait limpide, d'un Poète noir hirsute né en 1960, daté de 1983
Autoportrait limpide, d'un Poète noir hirsute né en 1960, daté de 1983 

Le phénomène BASQUIAT  :       5 "The Radiant Child"

                                      par un Blanc au Noir destin, J-P.Petit

On la voit, cette Tête, au plus profond de son cerveau en plein fonctionnement et en relation avec les stimuli extérieurs symbolisés par tous les sens présents en alerte. Elle absorbe, traite et assimile tout ce qui est autour d'elle, vous qui la regardez y compris, ses yeux, inquisiteurs,  vous transpercent. C'est presque un miroir magique de son fonctionnement à lui, le Noir Jean-Michel. On y retrouve sa couleur, sa chevelure hirsute, les coutures reliquats des suites de son accident à 6,5 ans et toute la machinerie interne d'un cerveau en plein bouillonnement de vie. C'est une synthèse unique de l'environnement extérieur et du fonctionnement intime de ce qui est essentiel chez l'Homme, sa tête. Il réalise ici cette projection en 2 dimensions de l'univers multidimensionnel de l'Homme, mêlant le visible et l'invisible, l'architecture et le fonctionnement, c'est l'interface totale en pleine action. Ceux qui on fréquenté « The Radiant Child » de son vivant, se souviennent : « il était plus vivant que la plupart des gens ». Ainsi parlait Glenn O'Brien, animateur de la célèbre série « TV party » à laquelle Basquiat a participé en 1981. Exceptionnellement, il y a ici très peu de caractères et pas de collages sur cette œuvre fondatrice. Jean-Michel Basquiat ne disait-il pas après : « Samo ©  is dead », ceci : « Mon travail n'a rien à voir avec les graffitis, c'est de la peinture, ça l'a toujours été. J'ai toujours peint, bien avant que la peinture soit à la mode ».

BIBLIOGRAPHIE succincte
Exposition au Musée d’art Moderne de la Ville de Paris, organisée avec la Fondation Beyeler,
             octobre 2010-janvier 2011,
Exposition au Brooklyn Museum de New-York, mars-juin 2005,
Basquiat, chez Flammarion, Marc Mayer,
Beaux Arts éditions pour l’exposition 2010 à Paris,
Connaissances des Arts HS N°468, 2010,
Nombreux sites internet.

 


 

Robert FILLIOU et la JOCONDE

RobertFILLIOU nous reçoit ! C'est donc virtuel. La"Concierge" restaurée? Non la Mona Lisa du coffre fort! La Joconde publicitaire, lisait-elle en son temps? Image du chef d'oeuvre prise au FRAC Champagne Ardenne

RobertFILLIOU nous reçoit ! C'est donc virtuel.
RobertFILLIOU nous reçoit ! C'est donc virtuel. 

Robert Filliou est un artiste incontournable,

       Inclassable dans les catégories classiques de l’Art, il a fait beaucoup de métiers et a quitté l’ONU, pour exister comme Poète.
Il réalise  et décrit en même temps une œuvre, en refusant de considérer l’art comme une « carrière », mais comme il veut en faire sa seule activité, il identifie « l’Art à la Vie ».
Il se dit « génie sans talent », toute son œuvre est pétrie d’humour percutant et nous le retrouvons toujours dans nos recherches de connaissances  artistiques.

Une de ses œuvres« La Joconde est dans les escaliers»   ,  a été acquise par le Fond régional d’Art Contemporain de Champagne Ardenne. C’est une œuvre philosophique  et « ready made » à la façon de Marcel Duchamp.

Elle a été exposée à Reims au FRAC et prêtée à Metz au nouveau Centre Pompidou dans le cadre du parcours initial de ce Musée intitulée :  « Chefs-d’œuvre ? », où on peut la découvrir actuellement.

            Le Secrétaire des Amis du FRAC a alors voulu me poser une question.         

 

LA  QUESTION : Jean-Paul Petit, peux-tu nous dire si "la Joconde de Robert Filliou est toujours dans les escaliers ?"

J’ai essayé de répondre simplement, en écoutant mes réactions devant « Elle » :

« Ta question est intéressante, on la retrouve au « court-bouillon » des Inquisiteurs qui passent peu de temps dans les escaliers , ils y passent seulement pour descendre dans les bas-fonds  « Haute Technologie » équipés pour
« LA  QUESTION ».

Revenons à nos balais,  souvent manipulés par des "Techniciens de surface"  comme les plumes des Critiques ( d’Art ?), chez qui elles sont finalement parfois manipulés par des « Techniciens de surfaces noircies » .

            Pour moi, oui,  la Joconde est toujours dans les escaliers !

Son image fantomatique  hante tous « les Esprits Sains », ( Oh ! sacré nom d’un chien !!!) depuis un certain Léonard, divin presque, devin, non , de vin si !

Il fallait bien la réactiver, cette vieille image toujours jeune, la rendre « à la mode », donc CONTEMPORAINE pour ce 2ème millénaire. Elle en a vu de toutes les couleurs, mais c’est directement sur son image qu’on intervient. habituellement.
 Une idée simple, aux fondements accessibles d’emblée, voilà comment une image universellement reconnue engendre chez  Robert Fillou une œuvre de portée universelle, sans avoir besoin d’explications indéchiffrables, une œuvre aboutissant à une communication immédiate avec le spectateur. L’Enfance de l’Art (contemporain) ???  Devant cette œuvre, il y a une évocation par notre subconscient d’une image de « concierge », renforcée par cette pratique connue de prévenir les « habitants » du pourtour de « l’escalier » de l’endroit où elle se trouve.
 Et voilà pourquoi le trait de génie d’avoir appelé «la concierge », « la Joconde » apparaît par une simple évocation complétée par une substitution.

C’est tellement fort et universel, que tout le « monde » comprend.
Pourquoi cette « image peinte » sur bois de 77 cm hante-t-elle les Esprits avertis ?

Regardez bien l’original ,  non pas sa reconfiguration DADA, ou  celles de Salvator Dali, d’Andy Warhol, et de bien d’autres , non, l’original le plus conforme à l’esprit de Léonard, il nous renvoie en nous, à la recherche perpétuelle de notre jumeau, de notre sosie, ou de notre âme sœur ; celle que nous n’imaginons même plus, mais que nous espérons toujours, sinon il n’y aurait pas tant de séparations et de narcissiques états.

 

Joconde !, Ton sourire nous égare, Ton balai nous lessive.

 

Si on la trouve si peu, celle de Filliou, c’est qu’elle est TOUJOURS ailleurs, et alors pourquoi pas dans les escaliers, telle la Concierge de nos subconscients, le tout dans un curieux mélange d’où sort peut-être la véritable source de nos inspirations, ce « melting pot » des Civilisations, comme disent avec pruderie
nos « Angles Oh sax On ».

            Pourvu que la Joconde reste toujours dans les escaliers ou ailleurs, pour que nos Esprits  puissent vagabonder à loisir avec plein d’images et de sentiments dans la tête, pour que nous puissions  « VOYAGER » avec elles. Ne sont-elles pas  là toutes nos sources d’œuvres originales ?
 Oui, il y en a encore à engendrer et souvenons nous bien que le cerveau « d’Homo ça pionce », sapiens pour les savants, est visuel à plus de 95%, et rien à voir entre l’œuvre et le volume du cerveau ou celui du seau de la célébrissime Concierge virtuelle, celle qui séjourne dans ce « ready made » de Robert Filliou
, car alors , tous les espoirs nous sont permis : ce poète disait « L’art est ce qui rend la vie plus intéressante que l’art » et définissait «L’Art est un processus… l’Art d’être perdu sans se perdre », précisant que  « tout le monde est artiste » sans pour autant PRODUIRE : CQFD.

Enfin, réveillons nous, qu’on enferme précieusement l’usurpatrice, celle qu’on peut encore voir au Louvre, qu’on l’enferme précieusement dans le coffre-fort inviolable des origines : délivrez nous du « mâl !!! » de ne plus créer à loisir pour que nous puissions tous créer tout court.
Car sa vue ne stérilise-t-elle pas nos élans ?  Ecoutez le, Robert Filliou est de bon conseil quand il consacre son oeuvre à nous apprendre  « L’Art d’être heureux » : serait-ce là la vrai finalité 
d’Homo enfin sapiens et celle de toute l’œuvre du Poète?

 

Et surtout, ne montez jamais l’escalier, vous perdriez votre innocence ! »

 

Avec trois Baudets au Petit Trianon

Ce "Cas rosse" pour les Grands de ce monde était destiné aux enfants Instruments de la Reine pour jardiner, pas pour torturer les Plantes. Ce lieu était réservé aux plaisirs, pour les enfants royaux, la danse. Tissus champêtres pour le lit de la reine, la garde robe était fournie Un buste de "Marie la Toilette", comme Marianne dans nos Mairies

Ce "Cas rosse" pour les Grands de ce monde était destiné aux enfants
Ce "Cas rosse" pour les Grands de ce monde était destiné aux enfants 
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 Avec trois Baudets au  Petit Trianon

 

Ces  3 Baudets  voyagent, et c’est leur droit.
Comme indiqué dans la 1ère chronique, « 
Voyager » n’oblige pas à de grands déplacements et à de coûteux investissements, c’est seulement un état d’esprit à l’écoute de tout ce qui nous entoure.
Il faut donc contribuer à le démontrer.
 C’est pourquoi j’ai choisi délibérément la rubrique
« voyage » pour que ces séries de VOYAGES en élucubrations sélectionnées, soient sur la toile et tentent d’équilibrer toutes les merveilles exotiques de notre monde qui nous sont étalées au nom de la divinité « Beauté ». Car en Art Contemporain, « le beau » ne n’est plus une valeur reconnue.

Car bientôt, pour ce qui est de l’exotisme, beaucoup sera banal et l’imagination créatrice prendra le vrai relai, ouvrant tout grand les portes de l’Art !

Ce n’est pas aux « Trois Baudets » que je vous convie pour un nouveau « voyage », mais c’est à propos de ce Cabaret parisien connu de toute la planète pensante, que vous êtes convié à Versailles  aux « 3 ânons » dits aussi « Tri ânons », selon que leurs parents sont Grands, ou Petits.
Première surprise en arrivant après avoir révisé nos manuels d’histoire, pas de têtes accrochées aux pointes des grilles du « 
Petit Trianon ».

On repassera !

Autres temps, autres mœurs, si on fait la queue le matin, c’est pour rien, on n’ouvre les portes qu’à midi.
On a alors le temps de penser (abus de pouvoir du cerveau), que  ce siècle avait bien plus que  2 ans, et que  Rome  ne  remplaçait pas  Sparte, tandis que maintenant Versailles ne remplaçait pas Paris et que  déjà personne ne  perce sous Nemo. La Légende des siècles nous accompagne en entamant notre  progression dans cette annexe de la Reine, où nous sont révélés deux « nouvelles à sensation » (mis en français pour scoop),  un
« cas rosse » pour tous les « Grands » de cette terre, car ils ne pouvaient y pénétrer qu’ « en faon », donc de petite taille.
L’autre nouvelle est qu’ici on torturait les plantes avec des instruments miniatures spéciaux : de vrais enfantillages royaux !
          Enfin la découverte , tout au bout du billard, c’est ce buste, celui de
« Marie la Toilette » en Marianne précoce. Elle est sans doute là pour un test, comme on le fait toujours avant le choix du buste à mettre en place dans les Mairies de France, un test avec la foule qui défile ici et qui pourrait voter à ce sujet

 

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