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VIVRE c'est la CURIOSITÉ, Vivre c'est, la Passion,allons-y, pour l' Art, les Véhicules, les Sciences, la Nature, donc l'

VIVRE c'est la CURIOSITÉ, Vivre c'est, la Passion,allons-y, pour l' Art, les Véhicules, les Sciences, la Nature, donc l'Homme.

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ART, HUMOUR, et LIBERTE

 

Petites annonces pour un »Petit » début.




     Bonjour,

 

 

         Rien de bien important , c'est simplement pour annoncer l'ouverture d'un blog pour s'exprimer un peu plus sur la vie de tous les jours dans ses aspects culturels. C'est pour illustrer et dire que l'art et l'humour peuvent s 'associer à la « collectionnite » en créant la « vie » pour passionné.

 

Le passé, le présent et l'avenir s'associent étroitement pour atteindre la culture, dès qu'on peut manger et être abrité, un grand privilège actuellement.

 

                   Il est certain que ce n'est peut-être qu'une vision personnelle, et c'est justement à base de « visions », au sens le plus large, que je compte alimenter cette petite , cette minuscule ouverture sur ce monde encore restreint à la planète bleue et à son infime annexe de l'espace tout proche.

 

         C'est justement pour voir si je suis seul à énoncer et à partager ces propos à tous « propos », que seront écrites ces lignes et publiées ces photos  que je prends ainsi depuis près de 60 ans.

 

Enfin depuis l'avènement de « l'informagique », que j'ai eu la chance de pratiquer depuis MBC Alcyane en France, on peut peindre et dessiner

des images avec ou sans photos. Je préfère ce mot virtuel plutôt que l'abréviation utilisée en Français avec bonheur pour dire  « Information Automatique » plutôt qu'Informatique.

Mais qui se souvient encore avoir utilisé les Apple II et les Alcyanes dotée d'un Basic évolué ?  Même les correcteurs orthographiques les ignorent et il faut tout leur réapprendre.

 

   L’image qui précède comprend la photo d'une automobile BERLIET , une Victoria équipée d'un moteur de 15 CV, qu'on pouvait s'offrir en 1897.

Elle n'était pas produite en série, mais à l'unité et à la main.

On peut l'admirer une fois par an à la Fondation BERLIET

 

2015 vient bien vite!

En vol avec un cabriolet Panhard Dyna X de 1953.
En vol avec un cabriolet Panhard Dyna X de 1953. 

Cet envol au dessus des nuages (qui s'accumulent), grâce au rêve des Véhicules d'Epoque, doit permettre à mes courageux lecteurs de recevoir tous mes meilleurs voeux de réalisation de leus propres rêves, ceux qui someillent en 2015, là-haut dans les nuages.

Jean-Paul Petit-Carrier-Belleuse

 

Le petit 11 septembre Français de 2015

Pour afficher notre profonde solidarité. L'Art aussi doit se mobiliser et crier sa douleur et ses résolutions.

Pour afficher notre profonde solidarité.
Pour afficher notre profonde solidarité. 

JE SUIS CHARLIE.

Comme un seul homme, le monde(civilisé) doit se dresser contre les bêtes démoniaques, des robots de la mort imbécile.
Crions tous nos indignations  et  supprimons "les terreaux" qui alimentent ces criminels, la misère, la faim, et surtout le manque d'idéaux motivants.
Regardons déjà chez nous les erreurs commises, et corrigeons les.
La 3ème guerre mondiale a commencée!

 

Le phénomène BASQUIAT : 1

Basquiat avec Glenn O'Brien, au cours de "TV Party" en 1979 In Italian, 1983 : ici s'exprime parfaiement son génie de la couleur Le famaux Musée, le MoMA assidument fréquenté par Basquiat Les quartiers de New-York pour situer les lieux familiers de Basquiat Jean-Michel devant ses peintures "graffitis".

Basquiat avec Glenn O'Brien, au cours de "TV Party" en 1979
Basquiat avec Glenn O'Brien, au cours de "TV Party" en 1979 

Le phénomène BASQUIAT:        1

                                      pour un Blanc au Noir destin, J-P.Petit

 

Ce 20ème siècle avait 60ans, New-York remplaçait Paris, sans heurts,

Déjà le peintre, poète génial, perçait sous le graffeur,

L’Ange Noir avait un grand succès sans aucune peur,
Ce n'était qu'un Afro-Américain dont le succès était à l'heure,
Et nous savons de reste que ce grand élégant qui fit voir ses talents,
Ignorait le bel art de chatouiller l'esprit sans gants,
Mais servait à point une œuvre hors du temps,
Celle qui défierait l'art des Blancs pour longtemps.

 

         On a  écrit, et on écrira encore bien longtemps sur l'Ange Noir.
Pourquoi ajouter les pages d'un simple goûteur de l'Art passionné, à celles de tous ces experts si savants?
            Simplement pour décrire de l'intérieur l'expérience vécue à la découverte, toute chaude, de sa dernière exposition. Devant chaque œuvre, s'impose un corps à corps des cerveaux, à base d'affectivité et d'instinct, et pour moi, la seule amorce d'explication relève au fond de la  biologie.
Car j'ai reçu 2 immenses chocs en peinture, Dada et Basquiat, le 1er ne nécessitant pas le recours à la biologie, mais le second l'exigeant.
Dada c'est le résultat d'un grand ensemble d'individus, mais Basquiat, c'est Samo  ©

(Same Old Shit = « même vieille merde »), c'est  Jean-Michel Basquiat et son cerveau.
Le génie a bon dos, même si dans ce cas c'est une réalité évidente, mais il recouvre le travail de la nature, et pour comprendre cette galaxie picturale, cette étoile filante permanente au firmament de l'Art, il faut décrypter la formation de son potentiel.
            Depuis l'âge de 3 ans il ne cesse de dessiner et de fréquenter assidument, emmené par sa mère, les plus importants musées de New-York, comme le MoMA, où toutes les écoles picturales sont représentées. Sa curiosité ainsi éveillée, devient dévorante, magazines, littérature, musique, histoire, philosophie, sociologie, icônes Noires du sport, condition des Noirs, l'esclavage, et  l'histoire de l'art, notamment occidental,  qui n'a très vite plus aucun secret pour lui, sans oublier ses origines et son environnement, qu'il absorbe goulument.  Comme il continue à pratiquer le dessin, la couleur, c'est comme s'il transcrivait sur un support ce qui est en lui, avec  la sureté d'un enregistreur physiologique maitrisé, au service d'une expérience encyclopédique, digne du « siècle des  Lumières », qui s'enrichit chaque jour de tout et s'accumule dans son cerveau.
Ajouter au tout une vigueur juvénile, une mémoire sans faille et une sensibilité exacerbée, vous avez alors les ingrédients qui rendent possible le phénomène Basquiat jaillissant de « l'underground », avec des racines Haïtiennes directement par son père et Portoricaines par les parents de sa mère.
Il a tout intégré, tout digéré, tout maitrisé, ses origines, N-Y des années 60-80, l'actualité, la rue et ses quartiers abandonnés en plein cœur de la ville.    A SUIVRE

 

Le Phénomène BASQUIAT : 2 l'accident !

CadillacMoon(1981)au tomobile  avec  le champion de base-ball AAron L'accident vécu à 6,5 ans est vivant,  là, dans sa peinture de 1980 1980-81 sans titre :la ville sordide, avec la  voiture de son destin Sa Joconde, très élaborée comparée à celles des artistes Dada Jimmy Beston accompagné d'une voiture en1980-81

CadillacMoon(1981)au tomobile  avec  le champion de base-ball AAron
CadillacMoon(1981)au tomobile avec le champion de base-ball AAron 

Le phénomène BASQUIAT :           2 l’accident !

                                      par un Blanc au Noir destin, J-P.Petit

 

Victime d'un grave accident de voiture tandis qu'il jouait dans la rue à 6,5 ans, sa mère lui offre pendant sa convalescence à l'hôpital un grand livre d'anatomie humaine, « Gray's Anatomy » utilisé par les futurs médecins. Il le dévore comme le reste et on a la preuve de l'immense impact qu'il laisse en lui : fou de Charlie Parker et de Miles Davis, bercé en permanence de musique jazz, de be-bop et de hip-up, il crée avec 2 amis l groupe musical « Gray's » qui dure 1 an,  et dans toute son œuvre on retrouve des corps éparpillés, des séquences graphiques quasi musicale et des référence aux planches anatomiques de Léonard de Vinci, en plus de la Joconde.
Tout laisse en lui des traces profondes et on peut comparer cet apprentissage génial  à la manière dont les très jeunes enfants s’approprient plusieurs langues tout naturellement. Mais ici les savoirs concernés sont d'une autre ampleur.
On pourrait développer longuement cet aspect biologique, mais l'image s'en impose devant chaque œuvre où quoiqu'on pense au 1er abord, rien n'est laissé au hasard, et surtout pas les ratures et les rayures.                   A SUIVRE

 

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